AVF

Le Verbe sacré

Le Tsérouf

ou La Phonétique respiratoire

Le Tsérouf le Verbe sacré est l’art de la combinaison des lettres de feu ou du verbe Hébraïque jusque dans son essence pour y dissoudre l’énergie qui y est contenu.

C’est une thérapie souffle-esprit comme elle était pratiquée au XIIIème siècle dans la kabbale mystique que l’on peut considérer comme un art du Verbe. Aussi appelée: « Phonétique respiratoire » ou « phonétique nucléaire » complémentaire à la thérapie biologosomatique, c’est un système de décryptage des MAUX de notre corps et de notre âme qui nous envoie bien souvent des messages verbaux et sonores inconscients..

Les racines de nos afflictions que l’on peut retranscrire en racines Hébraïques résident dans nos pensées, nos gestes, mais aussi le son de notre voix, nos paroles et, entre nos paroles : « NOTRE SOUFFLE ». Ainsi les mots que nous employons sont comme les noms des fichiers contenant nos expériences et toute notre histoire génétique.

Ces racines originelles et atemporelles et donc éternelles car, défiant les lois de la gravit. Électromagnétique Terrestre, sont le fruit du verbe résonnant par fréquences précises et chirurgicales dans notre ADN. Le Verbe utilisé à son origine vibratoire pour une thérapeutique du vivant, est en quelque sorte une opération Divine !

 

Le corps et l’esprit constituent un texte sacré dont on peut subtilement dérouler les mots et les faire résonner à notre conscience. Pour cela, il suffit d’utiliser une technique d’écoute des mots/maux sur le corps et son histoire qui reste gravée au plus profond de ses cellules.

Le corps renferme un langage archaïque basé sur la vibration organique et qui s’est façonné et construit depuis que l’humain parle et s’est verticalisé pour le mettre en sons / cris, en protolangage puis en verbe construit sur une grammaire moderne actuellement décadente de sens.

Bien entendu, la racine vibratoire reste la même sur toute la planète et nous la retrouvons dans les textes sacrés de toutes civilisations gravée dans la pierre, mais surtout gravée et conscientisée dans le corps vivant en constante évolution.

L’Hébreu, reçu comme langage sacré en est un exemple type en proposant la torah comme essence vibratoire et génétique avec ces 22 lettres de feu identiques et similaires à nos 22 chromosomes. Nous retrouvons des similitudes aussi, dans le Grec ancien, le Sanscrit, ou encore certains dialectes indigènes. Le lien et le ciment de toutes ces langues n’est que le  » SON  » qui se propage au travers de l’humain verbalisant la conscience Universelle en harmonie avec son environnement.

« Si tous les êtres humains était debout sur notre planète au même instant, toutes leurs colonnes vertébrales se rejoindraient au centre de la Terre. »

Luc Bigé

Harmonisation de l'être et lettres sacrées !

Le mystère de la personne humaine se résume à travers le processus d’intégration des trois dimensions des « lettres sacrées » et nous signale que nous sommes à la fois : personne, matière et onde. On en retrouve la symbolique dans la lettre « M » de nos langues occidentales mais aussi dans la langue Hébraïque avec la lettre « Mèm » qui est une des trois lettres mères que l’on retrouve dans l’alphabet carré originel de la Torah ou encore le « mu » Grec : 13ème lettre de l’alphabet Grec et pivot résonant entre le passé et le futur des 26 lettres allant de l’alpha à l’oméga, une totale information de lettres dans l’être… en Grec : « méros » = partie qui engendre des mortels. Ce même mot « μέρος Méros » qui deviendra : « mère » dans notre langue Française.
Les MOTS, issus du reflet de la lumière sur la matière sur la Terre, qui dessinent les formes qui nous informent, sont des modulations de l’onde acoustique émises par notre appareil phonatoire. Ils sont les messagers de la lumière et les témoins de nos émotions.
Dans notre cerveau, la coexistence de deux langages : conscient et non conscient , originel et en phase d’évolution, permet des échanges de l’information dans notre système cérébral gauche/droite, les deux hémisphères reliés à la totalité Matricielle qui nous entoure. Les eaux de notre corps qui en contient environ 80% sont en résonance constante avec notre Univers vibratoire environnant. Elles sont programmables à chaque seconde de notre vie Terrestre.

De tout temps, l’eau à été représentée par le dessin d’une vague et c’est ainsi que le hiéroglyphe égyptien nous transmet l’idée de la matrice. L’Hébreu carré semble dessiner la vague que fait le corps de l’homme lorsque, agenouillé, celui-ci vient mettre sa tête entre ses genoux dans une attitude de repliement sur lui-même comme en prière ou encore en retrouvant la position originelle du foetus humain flottant dans le liquide amniotique.

« De même qu’au moment d’une naissance, le corps de l’enfant bascule dans le ventre de sa mère pour venir placer sa tête dans l’axe du col de l’utérus, de même l’homme qui a pris racine et qui est prêt de naître bascule de la mort à la vie et vient se présenter dans l’axe de la naissance… »,

écrit Annick de Souzennelle dans « le symbolisme du corps humain »

 

A chacun de naître à soi-même dans le facteur évolution, mais n’oublions pas que les lettres sont des sons envoyés dans l’espace comme des notes de musique vibrantes pour rééquilibrer notre cosmos intérieur et notre diapason sur celui de l’Univers en mouvement qui n’est que reflet de nous-même.
« Les lettres sont programmables en tant que souffle sacré et, en l’Homme devenu chair, elles sont le Verbe créateur… »

Le tsérouf (verbe sacré) ou la Phonétique respiratoire est une « physique du Verbe » et aussi une méthode de détection du message des maladies et de notre histoire de vie que nos MOTS renferment et qui détiennent nos MAUX et nos souffrances inconscientes.

La parole/verbe « Logos » détient à son origine l’ARCHETYPE sonore ou mot-racine contenu dans la Torah et l’Hébreu sacré mais aussi résonant dans la langue mère archaïque appelée aussi : PROTOLANGAGE, berceau de notre civilisation et qui servira d’antidote, une fois décodé, retranscrit et conscientisé à travers la colonne vertébrale ( ARBRE DE VIE contenant les 22 lettres de feu ) en tant que réceptacle vibratoire à l’Être humain grâce au souffle régénérateur.

Cette technique ancestrale, autrefois pratiquée par les Egyptiens et les Esseniens se propage de siècles en siècles de l’orient vers l’occident et est à rapprocher des divers exercices de MANTRA-YOGA Hindou ou encore, certains exercices Soufi : c’est un YOGA DU VERBE

Étrange coïncidence que l’anagramme du mot : « vertèbre » :
vertèbre / vertèbres
verbetre / verbêtre

Il suffit juste d’inverser les lettres « V » et « B » pour y trouver la résonance et la signification inconsciente ou encore caché dans le langage des phonèmes afin d’y entendre cette belle analogie sonore qui vit en chacun de nous. De plus, la lettre « S » de vertèbres au pluriel (car nous en avons plusieurs) vient normalement se placer sur le « E » de être pour remplir l’espace…il n’y a pas de vide dans l’Univers, ou dans notre Univerbe, heu ! Univers !
La colonne vertébrale est un lieu privilégié où s’inscrivent toutes nos libérations, nos accomplissements successifs, mais aussi, nos blocages, nos peurs, nos refus d’évoluer et de grandir, nos refus d’aimer aussi…toutes nos tensions et nos souffrances y sont générées !
A une époque où le mal de dos est devenu la maladie du siècle, combien de personnes perdues dans notre monde Chaotique de sur-information n’arrivent plus à se redresser, s’élever comme tout être humain en devenir, les vertèbres contenant la moelle : « le miel de l’être » caché au centre de la structure humaine !
Dans le langage des oiseaux : moelle ne voudrait-il pas dire: « mot / elle », ou encore mot de Dieu car « EL » à toujours signifié l’énergie Divine et ce, dans toutes les langues sacrées… Ainsi, par sa colonne vertébrale, l’humain est canal à la conscience Universelle.

« La métaphysique Hindou de l’école Adwaita appelle « maya » le monde phénoménal. On a beaucoup usé et abusé du terme, que l’on traduit communément par « illusion », mais qui est lié par son étymologie au concept de mesure. Le monde et son contenu peuvent être « mesurés » mais une entité ou une énergie qui ne s’exprimerait qu’en terme numériques serait dépourvue de sens existentiel, à moins que la séquence numérique ne soit déchiffrée grâce à un code, ou que l’on reconnaisse au Nombre un sens qualitatif et essentiel, c’est à dire supra-existentiel. C’est le dernier sens que Pythagore, la Kabbale, et les divers systèmes de symbolique cosmique ont tenté de formuler. Dans ces systèmes cosmologiques, le Nombre reçoit un caractère fonctionnel et organique ; il a un sens qualitatif dans l’ensemble du cycle d’existence dont il caractérise la phase. Ainsi dans tout cycle existentiel-macrocosmique, humain ou atomique-la phase I ou la phase IV possède sa signification essentielle, métaphysique, et son caractère propre indépendamment du contenu événementiel, concret qui est le sien. »

Dane Rudhyar
« un nouvel homme pour un nouvel age » Éditions universitaires begedis 1984

Informations/rendez-vous

Stéphane Maillard
06 67 22 41 45

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